/... Elle affina la manière de
tendre l'arc au-dessus de la tête avant de ramener le trait de bambou à hauteur
de l'oeil et de reconnaître la qualité du tir au chant vibrant de la corde
libérée. Elle assimila la grâce des mouvements et la technique respiratoire par
laquelle le tireur chassait l'air de ses poumons au départ de la flèche...Comme
s'il voulait la pousser plus sûrement vers le centre convoité de la cible.../